La touche d'humour : Une petite blague sur les banquiers

Devant sa banque, un trader gare sa Porsche
flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture,
un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache
la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police.
Cinq minutes après les flics sont là .
Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser
la moindre question, le trader commence à hurler :
"Ma superbe Porsche turbo est foutue.
Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus
jamais la même !
Elle est foutue, elle est foutue !"
Quand il semble avoir enfin fini sa crise,
le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
"C'est absolument incroyable à quel point,
vous autres banquiers, vous êtes matérialistes !
Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez
à rien d'autre dans la vie."
"Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote
alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
"Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché
quand le camion vous a heurté."
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
"Et merde, ma Rolex !"

CEMAC : Lancement du comité de surveillance des systèmes de paiements

Le comité contribuera à endiguer les risques inhérents à l'exploitation des systèmes de paiements.

La Banque des Etats de l'Afrique Centrale (BEAC) vient de mettre en place un comité de surveillance des systèmes de paiements dans les six pays de la CEMAC : Cameroun, Congo, Gabon, Centrafrique, Guinée équatoriale et Tchad...

La Banque des Etats de l'Afrique Centrale (BEAC) vient de mettre en place un comité de surveillance des systèmes de paiements dans les six pays de la CEMAC : Cameroun, Congo, Gabon, Centrafrique, Guinée équatoriale et Tchad.

Ce comité a notamment pour mission de veiller au respect de la charte de bonne conduite en matière d'exploitation des systèmes de paiements dans la zone CEMAC.

Selon le vice-président de la BEAC, Tahir Hamid Nguilin, cité par les dépêches de Brazzaville, le comité contribuera ainsi à endiguer les risques inhérents à l'exploitation des systèmes de paiements et à réduire les possibilités de survenance des crises financières ainsi que les contagions systémiques éventuelles.

"L'importance tant par le nombre que par les montants des transactions échangés, ainsi que la rapidité de leur dénouement sur notre place financière totalement décloisonnée, constituent de réels facteurs de risque, dont la non-prise en compte pourrait induire et transmettre des ondes de choc de nature à compromettre la stabilité monétaire et financière de la zone".

31 juillet 2015