La touche d'humour : Une petite blague sur les banquiers

Devant sa banque, un trader gare sa Porsche
flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture,
un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache
la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police.
Cinq minutes après les flics sont là .
Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser
la moindre question, le trader commence à hurler :
"Ma superbe Porsche turbo est foutue.
Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus
jamais la même !
Elle est foutue, elle est foutue !"
Quand il semble avoir enfin fini sa crise,
le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
"C'est absolument incroyable à quel point,
vous autres banquiers, vous êtes matérialistes !
Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez
à rien d'autre dans la vie."
"Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote
alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
"Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché
quand le camion vous a heurté."
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
"Et merde, ma Rolex !"

Un marché de 3 milliards aux États-Unis

Dans des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’Australie, les cyberincidents sont même considérés comme le premier facteur de risque pour les entreprises.

Il faut dire que fréquenter le «dark web» peut s’avérer très lucratif...

Dans des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’Australie, les cyberincidents sont même considérés comme le premier facteur de risque pour les entreprises.

Il faut dire que fréquenter le «dark web» peut s’avérer très lucratif.

Il s’agirait de l’activité criminelle la plus rentable. Selon les experts du groupe américain First Data, ce marché s’élèverait à 8,45 milliards de dollars, alors que depuis 2013, plus de 9 milliards de données ont été perdues ou volées, et seulement 4% d’entre elles étaient encryptées et donc inutilisables.

Résultat, la vente de cyberassurances bondit un peu partout dans le monde. 40% des entreprises françaises auraient souscrit à un produit de ce type l’an dernier, selon Europe 1, contre 26% en 2017.

Aux États-Unis, ce marché pèserait près de 3 milliards d’euros.