La touche d'humour : Une petite blague sur les banquiers

Devant sa banque, un trader gare sa Porsche
flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture,
un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache
la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police.
Cinq minutes après les flics sont là .
Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser
la moindre question, le trader commence à hurler :
"Ma superbe Porsche turbo est foutue.
Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus
jamais la même !
Elle est foutue, elle est foutue !"
Quand il semble avoir enfin fini sa crise,
le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
"C'est absolument incroyable à quel point,
vous autres banquiers, vous êtes matérialistes !
Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez
à rien d'autre dans la vie."
"Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote
alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
"Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché
quand le camion vous a heurté."
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
"Et merde, ma Rolex !"

La cybercriminalité, un marché de 9 milliards

Jugés «très sensibles» aux attaques de déni de service, les établissements financiers ne lésinent donc pas sur ce poste de dépense, qui atteint, en moyenne, 250.000 dollars (200.856 euros) par attaque d’ampleur, selon les conclusions de l’étude.

Contre 100.000 dollars (80.342 euros) pour une attaque via un logiciel qui prend en otage des données ou une autre forme de logiciel malveillant.

Résultat mathématique: les coûts liés à la cybersécurité ont explosé, passant en moyenne de 12,9 millions de dollars (10,3 millions d’euros) en 2014 à 18,2 millions de dollars (14,6 millions d’euros) en 2017.

Soit bien plus que les 11,7 millions de dollars (9,4 millions d’euros) consacrés à la question au sein des entreprises des autres secteurs. Digitalisation de plus en plus poussée d’un côté et essor des activités de la banque sur mobile de l’autre devraient renforcer encore cette tendance dans les années à venir, estiment les conclusions de l’étude, qui soulignent notamment les menaces qui pèsent sur les bases de données.

Ces dernières, appelées à jouer un rôle de plus en plus central dans le cadre du développement de l’intelligence artificielle et des algorithmes, devront nécessiter de nouvelles mesures de protection. Toujours plus élaborées.

Selon les estimations du groupe américain First Data, la cybercriminalité serait l’activité illégale la plus rentable, avec un marché estimé à près de 9 milliards de dollars (7,2 milliards d’euros).