La touche d'humour : Gaspard Proust – Invasion

Il faut avoir le courage de reconnaître que le nazisme a commis des erreurs. Envahir la Pologne au lieu de la Suisse, c’est comme habiter en face de la Banque centrale et braquer le kebab.

Un marché de 3 milliards aux États-Unis

Dans des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni ou l’Australie, les cyberincidents sont même considérés comme le premier facteur de risque pour les entreprises.

Il faut dire que fréquenter le «dark web» peut s’avérer très lucratif.

Il s’agirait de l’activité criminelle la plus rentable. Selon les experts du groupe américain First Data, ce marché s’élèverait à 8,45 milliards de dollars, alors que depuis 2013, plus de 9 milliards de données ont été perdues ou volées, et seulement 4% d’entre elles étaient encryptées et donc inutilisables.

Résultat, la vente de cyberassurances bondit un peu partout dans le monde. 40% des entreprises françaises auraient souscrit à un produit de ce type l’an dernier, selon Europe 1, contre 26% en 2017.

Aux États-Unis, ce marché pèserait près de 3 milliards d’euros.