La touche d'humour : Une petite blague sur les banquiers

Devant sa banque, un trader gare sa Porsche
flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture,
un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache
la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police.
Cinq minutes après les flics sont là .
Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser
la moindre question, le trader commence à hurler :
"Ma superbe Porsche turbo est foutue.
Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus
jamais la même !
Elle est foutue, elle est foutue !"
Quand il semble avoir enfin fini sa crise,
le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
"C'est absolument incroyable à quel point,
vous autres banquiers, vous êtes matérialistes !
Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez
à rien d'autre dans la vie."
"Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote
alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
"Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché
quand le camion vous a heurté."
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
"Et merde, ma Rolex !"

Bâle III : les banques obtiennent un assouplissement des règles

Les banques centrales des vingt économies les plus riches se sont mises d’accord pour assouplir le périmètre de définition de l’un des principaux critères financiers imposés par Bâle III : le ratio de levier. Celui-ci a été fixé à 3%, signifiant que les banques auront l’obligation de détenir des capitaux représentant au moins 3% de l’ensemble de leurs actifs. Suite aux plaintes des établissements, jugeant le projet trop sévère...

Les banques centrales des vingt économies les plus riches se sont mises d’accord pour assouplir le périmètre de définition de l’un des principaux critères financiers imposés par Bâle III : le ratio de levier. Celui-ci a été fixé à 3%, signifiant que les banques auront l’obligation de détenir des capitaux représentant au moins 3% de l’ensemble de leurs actifs. Suite aux plaintes des établissements, jugeant le projet trop sévère, le Comité de Bâle a donc annoncé que le calcul pouvait être effectué sur les positions nettes pour les opérations de financement à court terme, au lieu d’un calcul initial sur base de positions brutes, ce qui devrait avoir « un impact significatif ».
La règle concernant le ratio de levier figure parmi les derniers éléments de l’accord international de solvabilité imposé aux banques. La signature définitive de l’accord devrait avoir lieu en Suisse, à Bâle pour une mise en application dès janvier 2018.
Une autre règle des accords Bâle III, celle du NSFR (Net Stable Funding Ratio, imposant aux banques la détention de liquidités suffisantes pour le long terme, limitant ainsi son financement à court terme), devrait également être prochainement remise en débat public.
La Tribune ? 13.01.2014 ? Bâle III: les banques obtiennent un assouplissement des règles