La touche d'humour : Une petite blague sur les banquiers

Devant sa banque, un trader gare sa Porsche
flambant neuve, histoire de frimer devant ses collègues.
Au moment où il commence à sortir de sa voiture,
un camion arrive à toute allure et passe si près qu'il arrache
la portière de la Porsche puis disparaît aussi vite.
Le trader se rue sur son portable et appelle la police.
Cinq minutes après les flics sont là .
Avant même qu'un des policiers n'ait pu poser
la moindre question, le trader commence à hurler :
"Ma superbe Porsche turbo est foutue.
Quoi que fassent les carrossiers, ce ne sera plus
jamais la même !
Elle est foutue, elle est foutue !"
Quand il semble avoir enfin fini sa crise,
le policier hoche la tête avec dégoût et dit :
"C'est absolument incroyable à quel point,
vous autres banquiers, vous êtes matérialistes !
Vous êtes si concentrés sur vos biens que vous ne pensez
à rien d'autre dans la vie."
"Comment pouvez-vous dire une chose pareille à un moment pareil, sanglote
alors le propriétaire de la Porsche.
Le policier répond :
"Vous n'avez même pas conscience que votre avant-bras gauche a été arraché
quand le camion vous a heurté."
Le banquier regarde son bras avec horreur et hurle :
"Et merde, ma Rolex !"

La Fed impose une nouvelle règle prudentielle

La Fed impose une nouvelle règle prudentielle
Les huit plus grandes banques américaines se sont vu imposer par la Fed une nouvelle contrainte prudentielle : le rapport entre les fonds propres et les actifs devra augmenter pour constituer un ratio de levier de 6% (soit deux fois celui requis par les accords de Bâle III). Les actifs pris en compte sont calculés selon leur montant nominal, et non pas pondérés selon leurs risques comme les ratios de capitaux...

La Fed impose une nouvelle règle prudentielle

Les huit plus grandes banques américaines se sont vu imposer par la Fed une nouvelle contrainte prudentielle : le rapport entre les fonds propres et les actifs devra augmenter pour constituer un ratio de levier de 6% (soit deux fois celui requis par les accords de Bâle III). Les actifs pris en compte sont calculés selon leur montant nominal, et non pas pondérés selon leurs risques comme les ratios de capitaux.
La nouvelle règle, qui s'appliquera à partir du 1er janvier 2018, touche les holdings détenant plus de 700 milliards de dollars d'actifs : Citigroup, JPMorgan Chase, Bank of America, Bank of New York Mellon, Goldman Sachs, Morgan Stanley, State Street Corporation, et Wells Fargo.
Les Echos ? 08.04.2014 ? Banques systémiques aux USA: une règle supplémentaire pour limiter les risques (Fed)

Londres veut ajuster le texte européen sur les banques défaillantes
Le texte européen sur les faillites bancaires doit être définitivement adopté mardi prochain au Parlement de Strasbourg. Mais la Grande- Bretagne tente encore d'infléchir le texte. Elle souhaite protéger le rôle de la Banque d'Angleterre comme prêteur en dernier ressort aux banques dans les situations d'urgence. Or la logique du projet européen consiste à éviter que les contribuables n'aient à sauver une banque.


Le débat tourne autour d'une « incohérence » du texte à propos de garanties que les Etats pourraient apporter dans les rares cas où une banque centrale fournirait des liquidités d'urgence à un établissement en détresse. En l'état, le texte spécifie que l'apport de cette garantie précipiterait la disparition de la banque. L'idée britannique serait que la mise en résolution de celle-ci ne se déclenche pas automatiquement, et que ses créanciers n'aient pas à subir de pertes.


Les Echos 09.04.2014 Attaque surprise sur la réforme financière phare de l'Europe